I love your eyes, my dear
Their splendid sparkling fire
When suddenly you raise them so
To cast a swift embracing glance
Like lightning flashing in the sky
But there's a charm that is greater still
When my love's eyes are lowered
When all is fired by passion's kiss
And through the downcast lashes
I see the dull flame of desire
sexta-feira, agosto 31, 2007
The Dull Flame of Desire poetry in Stalker film
quinta-feira, agosto 30, 2007
terça-feira, agosto 28, 2007
segunda-feira, agosto 27, 2007
Alberto de Lacerda
Foi-se o Prado Coelho, agora o Alberto de Lacerda. Vão-nos abandonando...
Pedra
Não há linguagem; há estátuas
Que se movem simultâneas.
Não há cartas; há segredos
Que a noite pisa sem esperança.
Não há túneis; pontes, pontes
Que ligam ruínas fundas!
Não há príncipes; há túmulos
Sem epitáfios nem flores.
23.8.57
Alberto de Lacerda
Oferenda
I
Imprensa Nacional-Casa da Moeda
Pedra
Não há linguagem; há estátuas
Que se movem simultâneas.
Não há cartas; há segredos
Que a noite pisa sem esperança.
Não há túneis; pontes, pontes
Que ligam ruínas fundas!
Não há príncipes; há túmulos
Sem epitáfios nem flores.
23.8.57
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domingo, agosto 26, 2007
sábado, agosto 25, 2007
sexta-feira, agosto 24, 2007
Psicologia
PSYCHOLOGIE
Des expériences extracorporelles
au laboratoire
NOUVELOBS.COM 24.08.2007 12:06
D’où vient la conscience que nous avons de notre propre corps,
intimement liée à la conscience de soi ? Pour mieux comprendre
ces questions fondamentales, des chercheurs essaient de
reproduire les expériences extracorporelles.
Ehrsson touche un participant à un endroit qu'il ne voit pas tout en
projetant dans les lunettes vidéo l'image de l'objet touchant le corps.
(Henrik Ehrsson).
Comment, en laboratoire, amener des volontaires à ‘’sortir de leur
corps’’, sans leur donner de stupéfiants ou déclencher une crise
d’épilepsie ? Deux expériences menées indépendamment, en Suisse
et en Suède, apportent une solution. Grâce à la réalité virtuelle,
il est possible de montrer à un quelqu’un son propre corps et de
créer une confusion sur sa localisation réelle, autrement dit de
perturber la conscience de son propre corps, expliquent deux
articles publiés aujourd’hui dans la revue Science.
Longtemps confinées à la littérature fantastique ou au cercle
du paranormal, les expériences extracorporelles ont intrigué
les chercheurs en neurosciences. Un dysfonctionnement cérébral,
lié à une attaque ou à la prise de drogues, provoque chez
certaines personnes l’impression de voir leur propre corps
sans faire partie de ce corps, tout en étant éveillées et
conscientes. L’unité entre le corps et le ‘’soi’’ est rompue.
En étudiant ces situations exceptionnelles, les scientifiques
cherchent à comprendre les bases neurobiologiques de la
conscience de soi.
Henrik Ehrsson (Institut Karolinska, Suède) et l’équipe d’Olaf
Blanke (Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, Suisse) ont,
chacun de leur côté, utilisé des lunettes vidéo pour projeter
devant les yeux des volontaires l’image de leur propre corps vu
de derrière. Pour créer une confusion, les chercheurs ont touché
les personnes dans le dos, par exemple, puis les ont interrogées
sur leurs sensations. Lorsque le toucher réel était synchronisé
avec l’image de l’objet en train de toucher leur corps, les
personnes imputaient la sensation à l’objet qu’elles voyaient.
Cela signifie que la localisation du soi n’est plus strictement
dans les limites du corps, expliquent les chercheurs.
Lorsque l’image projetée n’était plus leur propre corps mais
la simple représentation d’un corps ou un objet, les volontaires
ne ressentaient pas la même dissociation, relate Blanke et ses
collègues.
Les sensations obtenues en laboratoire ne sont pas aussi fortes
que les expériences extracorporelles réelles. Certains participants
ont jugé l’expérience étrange, bizarre, voire dérangeante, mais
aucun n’a eu la sensation de totalement sortir de son corps,
explique Olaf Blanke. Quoi qu’il en soit, la réalité virtuelle
combinée au toucher crée des perturbations sensorielles et offrent
aux chercheurs de nouvelles possibilités pour étudier la conscience
que chacun a de son corps.
Pour Henrik Ehrsson, la vision est essentielle à cette conscience :
nous situons notre ‘’moi’’ là où est notre regard,estime ce chercheur.
«Video ergo sum» (je vois donc je suis) résument Blanke et ses
coauteurs dans le titre de leur article.
Cécile Dumas
Sciences et Avenir.com
(23/08/07)
Des expériences extracorporelles
au laboratoire
NOUVELOBS.COM 24.08.2007 12:06
D’où vient la conscience que nous avons de notre propre corps,
intimement liée à la conscience de soi ? Pour mieux comprendre
ces questions fondamentales, des chercheurs essaient de
reproduire les expériences extracorporelles.
Ehrsson touche un participant à un endroit qu'il ne voit pas tout en
projetant dans les lunettes vidéo l'image de l'objet touchant le corps.
(Henrik Ehrsson).
Comment, en laboratoire, amener des volontaires à ‘’sortir de leur
corps’’, sans leur donner de stupéfiants ou déclencher une crise
d’épilepsie ? Deux expériences menées indépendamment, en Suisse
et en Suède, apportent une solution. Grâce à la réalité virtuelle,
il est possible de montrer à un quelqu’un son propre corps et de
créer une confusion sur sa localisation réelle, autrement dit de
perturber la conscience de son propre corps, expliquent deux
articles publiés aujourd’hui dans la revue Science.
Longtemps confinées à la littérature fantastique ou au cercle
du paranormal, les expériences extracorporelles ont intrigué
les chercheurs en neurosciences. Un dysfonctionnement cérébral,
lié à une attaque ou à la prise de drogues, provoque chez
certaines personnes l’impression de voir leur propre corps
sans faire partie de ce corps, tout en étant éveillées et
conscientes. L’unité entre le corps et le ‘’soi’’ est rompue.
En étudiant ces situations exceptionnelles, les scientifiques
cherchent à comprendre les bases neurobiologiques de la
conscience de soi.
Henrik Ehrsson (Institut Karolinska, Suède) et l’équipe d’Olaf
Blanke (Ecole polytechnique fédérale de Lausanne, Suisse) ont,
chacun de leur côté, utilisé des lunettes vidéo pour projeter
devant les yeux des volontaires l’image de leur propre corps vu
de derrière. Pour créer une confusion, les chercheurs ont touché
les personnes dans le dos, par exemple, puis les ont interrogées
sur leurs sensations. Lorsque le toucher réel était synchronisé
avec l’image de l’objet en train de toucher leur corps, les
personnes imputaient la sensation à l’objet qu’elles voyaient.
Cela signifie que la localisation du soi n’est plus strictement
dans les limites du corps, expliquent les chercheurs.
Lorsque l’image projetée n’était plus leur propre corps mais
la simple représentation d’un corps ou un objet, les volontaires
ne ressentaient pas la même dissociation, relate Blanke et ses
collègues.
Les sensations obtenues en laboratoire ne sont pas aussi fortes
que les expériences extracorporelles réelles. Certains participants
ont jugé l’expérience étrange, bizarre, voire dérangeante, mais
aucun n’a eu la sensation de totalement sortir de son corps,
explique Olaf Blanke. Quoi qu’il en soit, la réalité virtuelle
combinée au toucher crée des perturbations sensorielles et offrent
aux chercheurs de nouvelles possibilités pour étudier la conscience
que chacun a de son corps.
Pour Henrik Ehrsson, la vision est essentielle à cette conscience :
nous situons notre ‘’moi’’ là où est notre regard,estime ce chercheur.
«Video ergo sum» (je vois donc je suis) résument Blanke et ses
coauteurs dans le titre de leur article.
Cécile Dumas
Sciences et Avenir.com
(23/08/07)
quinta-feira, agosto 23, 2007
sábado, agosto 18, 2007
Bruno Munari
Variações sobre o tema do rosto humano
Quantas maneiras e que meios técnicos permitem obter
variantes de um rosto humano visto de frente? O designer
gráfico trabalha sem preconceitos limitativos e sem exclusão
de meios. As suas investigações visuais levam-no a experi-
mentar todos os instrumentos técnicos e todas ascombinações
possíveis, a fim de obter aquela imagem particular - e não
outra - mais adequada à pesquisa que deve ser feita.
Tomando como referência as técnicas do passado, um
rosto humano feito de mosaico tem uma estrutura diferente
do mesmo rosto pintado num fresco ou desenhado em claro-
-escuro ou esculpido na pedra, etc.
Os elementos que compõem o rosto - olhos, nariz e boca -
são diversamente «estruturados». Quando se pensa construir
um rosto feito de vidro, de arame, de papel plissado, de palha
entrançada, de borracha, de lascas de madeira, de plástico,
de espuma de «nylon», de fibra de vidro, de «moltopren»,
de rede metálica - as relações entre as componentes deverão
ser adaptadas a cada material.
Ou então, se virmos este rosto humano através de um
vidro com desenhos, de uma rede tipográfica, entre as listas
de uma barraca veneziana, por detrás de uma garrafa cheia
de água... teremos outros tantos aspectos diferentes, transfor-
mações, deformações e alterações do mesmo rosto. Poderemos
ainda procurar todas as possíveis relações lineares entre as
componentes do rosto, procedendo a experiências com linhas
rectas, curvas, oblíquas, paralelas, de traço contínuo ou a
tracejado.
O importante para o exercício, é não sair do tema do rosto
visto de frente, porque é evidente que inúmeras combinações
poderão ser obtidas com rostos vistos de perfil, a três quartos,
ou com efeitos tridimensionais, efeitos de perspectiva, etc.
No caso de um gráfico, este exercício serve para encon-
trar a imagem mais coerente de um dado tema; cada imagem
e cada técnica têm atributos precisos e transmitem uma dada
mensagem. Um símbolo gráfico destinado a um produto de cos-
mética não pode ser igual ao de um combustível. Habitualmente,
o gráfico executa centenas de pequenos esboços para em
seguida escolher um.
A Arte como Ofício
Bruno Munari
Editorial Presença
Colecção Dimensões
1978
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